La fondatrice
QUI SUIS-JE ?
Je m’appelle Laura Deman. J’habite à Liézey, un beau petit village des Hautes Vosges. J’exerce la profession d’esthéticienne, énergéticienne et conseillère en plantes médicinales.
UNE PASSION DES PLANTES ET DE L’ESTHETIQUE EN HERITAGE, SOUVENIRS D’ENFANCE :
J’ai développé une passion pour les plantes, leur parfum, leur beauté, leurs vertus. C’est un héritage qui vient de mes visites quand j’étais enfants chez Pascale et René PIERROT de la Ferme du Bien Etre qui me faisaient toujours découvrir de nouvelles odeurs, de nouvelles couleurs… Telle une note de coeur dans un jardin ou tel parfum fabuleux !
J’ai développé une passion pour les plantes, leur parfum, leur beauté, leurs vertus. C’est un héritage qui vient de mes grand-mères, que je remercie. Elles cultivaient leur propre jardin. D’aussi loin que remontent mes souvenirs de petite fille.
L’une d’elles me demandait de cueillir des myosotis, assez court et de les mettre ensuite dans une assiette remplie d’eau sur la table de la cuisine. Ce geste, devenu un rituel, me ramène instantanément à ces souvenirs dès que les myosotis s’ouvrent au printemps. Elles m’ont transmis un état d’esprit, un état d’être, avec un émerveillement paisible de l’instant, un respect de la force et de la fragilité du vivant au-travers des gestes liés à la cueillette des plantes et aux soins à leur prodiguer. Elle se parfumait souvent de soliflore et me faisait découvrir, au gré de nos pérégrinations, les fragrances subtiles des fleurs. Ainsi, aujourd’hui les parfums évoquent pour moi des souvenirs heureux. L’odeur du parfum que je portais lors de la lecture du Parfum de Suskind ou l’odeur d’une poupée d’enfance me reviennent en y pensant, tout comme l’histoire de la madeleine de Proust.
L’autre grand-mère, espagnole, était coquette. Très féminine, elle maquillait ses lèvres de rouge et mettait des paillettes discrètes sur ses ongles. Désireuse de tout voir, de tout connaître, elle parcourait le monde à la recherche de nouveaux horizons et de nouvelles rencontres.
Ces relations féminines, si importantes dans ma vie d’enfant, ont éveillé mon attrait pour les plantes et pour le vivant, et par là même, pour l’humain. C’est une transmission. Mes choix d’orientation dans ma vie actuelle en découlent.